Charles Martel recevant un messager
Dans l’histoire, le bâtard n’a pas le même traitement social chez les rois et dans la population générale.
Entre le bâtard populaire et le bâtard royal, il y a deux poids, deux mesures : alors que le bâtard populaire subit le rejet social, le bâtard royal peut être légitimé.
Et La Fontaine, dans la conclusion de sa fable Les animaux malades de la peste, avait entièrement raison (et a toujours raison) :
« Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »
Le bâtard populaire était le plus souvent en situation de rejet et d’exclusion sociale.
Historiquement le mot bâtard était employé pour désigner un enfant adultérin ou illégitime, c'est-à-dire conçu hors des normes sociales (mariage, célibat des prêtres…), également appelé « enfant de l'amour ».[1]
Ce terme de bâtard a des connotations négatives (en anglais, bastard est une injure qui signifie "salaud"), mais celles-ci disparaissent lorsqu'il désigne les bâtards de familles royales ou princières ( de France et d’ailleurs) qui étaient souvent légitimés et occupaient des rangs sociaux élevés.[1]
- Charles Martel ;
- Guillaume Ier le Conquérant ;
- César, Henri et Antoine de Bourbon : fils légitimés d’Henri IV ;
- Les enfants de Louis XIV et de Mme de Montespan.
Sources : [1] - http://fr.wikipedia.org/wiki/Bâtard ;
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RépondreSupprimerMerci orfeenix, eet bienvenue sur mon blog ! J'espère que tu y reviendras de temps en temps...
RépondreSupprimerEt une artiste qui a parmi ses livres préférés le Cantique des Cantiques et les fleurs du mal ne peut qu'être quelqu'un de passionnant !
Tu peux compter sur ma fidélité, quand j' aime , j' aime...
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